Conseils pour le portage des nouveau-nés
7 choses auxquelles tu dois absolument faire attention
Sur les photos et les vidéos, tout semble toujours super facile, mais mettre un nouveau-né fragile dans un porte-bébé n'est tout à coup plus si simple avec son propre bébé. D'une manière ou d'une autre, il vous manque toujours une main. Voici donc quelques conseils pour faciliter les choses :
1
Utilisez un miroir :
pour certains, il peut être déroutant de voir les poignées inversées, mais en général, l'utilisation d'un miroir facilite la manipulation, car je vois beaucoup mieux ce que je fais et comment le bébé est accroupi dans le porte-bébé. Même si je décide de ne pas utiliser le miroir au moment de l'emmaillotage, je dois toujours vérifier le résultat dans le miroir au début. Au bout d'un moment, mes sensations corporelles prennent le dessus et me permettent de décider si tout est en place.
2
Soutenez votre bébé en diagonale :
si je tiens mon enfant droit devant mon ventre, cela fonctionne bien avec les deux mains, mais pour agir sur le porte-bébé ou l'écharpe, je dois tenir mon enfant d'une main. Pour cela, j'utilise tout l'avant-bras. Tandis que ma main soutient la tête du bébé derrière sa nuque, l'avant-bras parcourt tout le dos du bébé en diagonale et le presse doucement contre mon torse. Je peux maintenant faire des choses avec l'autre main.
3
Ramener les genoux vers le haut :
En général, les souris fraîchement écloses ont encore une forte réaction d'accroupissement lorsqu'on les soulève. Elles tirent les cuisses contre le ventre et se préparent ainsi à être portées. Cependant, les pieds se touchent souvent, de sorte qu'il semble presque impossible d'enfiler la partie dorsale d'un porte-bébé entre les petites jambes. Au lieu d'essayer de tirer le bas de la jambe vers la gauche et vers la droite, il est souvent plus facile de remonter le genou à l'aide de la cuisse : Je saisis donc la cuisse et guide ainsi prudemment le genou vers le haut et sur le côté dans la position accroupie-écartée : en règle générale, la jambe suit le mouvement et les petits pieds se séparent.
4
Remonter la partie dorsale :
Lorsque les jambes inférieures sont séparées pour un moment, je peux maintenant saisir rapidement le dos du porte-bébé et le faire glisser vers le haut le long de l'enfant jusqu'à ce que je puisse tenir l'enfant et le porte-bébé d'une seule main au niveau de la nuque. C'est beaucoup plus facile que si je me contente de relever le dos du porte-bébé.
5
Nouer/tirer suffisamment fort :
Lorsque j'ai un si petit ver dans le porte-bébé, le souci de l'attacher trop fortement est très compréhensible. Il est toutefois très important que les bébés soient bien soutenus et ne puissent pas s'affaisser sur eux-mêmes, afin que les voies respiratoires restent libres. Je peux facilement contrôler si j'ai noué suffisamment fort ou non : Si je me penche bien en avant (en tenant la tête), le haut du corps de mon enfant doit rester en contact avec le corps et l'enfant ne doit pas tomber dans le porte-bébé. Si c'est le cas, je dois tirer une nouvelle fois.
6
Poignées de correction - mais oui !
Il n'y a pas de maître qui tombe du ciel et fermer le porte-bébé, même si le bébé n'est pas encore assis de manière optimale, permet de réduire le stress. Si le bébé s'est énervé en l'attachant, je peux aussi faire quelques pas pour le calmer. Ensuite, je saisis le haut de son corps et le redresse encore une fois. Il est probable que je doive ensuite tirer encore une fois plus fort. De la même manière, je peux aussi saisir des deux mains les fesses de l'enfant dans le porte-bébé et les pousser vers le milieu si l'enfant est assis de travers. Tirer à nouveau le tissu jusqu'au creux du genou est aussi toujours une bonne idée.
7
Pour finir
N'oubliez pas que le post-partum doit être une période de guérison, de repos et de rapprochement : ne faites que ce qui vous fait du bien, soyez attentifs à votre corps ! Au début, le contact physique est le plus important et on peut aussi l'avoir confortablement installé dans son lit.